
Trois variantes du covid-19 repérées dans le monde
Trois variantes du covid-19 repérées dans le Monde Les mutations du coronavirus se multiplient. En effet, après le variant britannique, qui commence à inquiéter les
Trois variantes du covid-19 repérées dans le Monde Les mutations du coronavirus se multiplient. En effet, après le variant britannique, qui commence à inquiéter les
Début de la campagne de vaccination contre la covid-19 en France Les premiers patients ont reçu la première injection du vaccin contre le coronavirus (covid-19)
Le premier vaccin contre la covid-19 doit être validé ce lundi par l’Agence Européenne du Médicament L’Agence européenne du Médicament (AEM) va donner son avis
C’est ce dimanche 27 décembre 2020 que la campagne de vaccination contre la lutte du covid-19 en France commence. Cette campagne de vaccination ne prend pas effet seulement en France, mais dans l’ensemble des pays de l’Union Européenne.
En France, les premiers patients ont reçu une injection contre le coronavirus dans deux structures hospitalières, à Sevran et à Dijon.
Lors de l’intervention du Premier Ministre Jean Castex ce jeudi 22/10/2020 à 17h, il nous a été présenté la nouvelle application mobile pour lutter contre le coronavirus TousAntiCovid anciennement StopCovid qui avait connu un gros flop lors du déconfinement en mai dernier en France.
Pour lutter de manière « plus ciblée » en France contre la pandémie du coronavirus, le ministre de la Santé Oliver Véran a présenté mercredi 23 septembre 2020 un nouveau dispositif de restrictions visant à la « division du territoire » selon 3 niveaux d’alerte.
Les tests de dépistage du coronavirus se multiplient en France depuis début septembre, c’est-à-dire depuis la fin des vacances. Seulement aujourd’hui les délais s’allongent dans les laboratoires qui peinent à répondre à la forte demande, sans parler du manque de réactifs.
« Il ne sert à rien de se tester trop souvent », a rappelé le ministre de la Santé.
En effet, le test doit être fait si vous avez un doute, si vous avez des symptômes et si le cas contact est avéré, si vous avez été appelé par l’Assurance maladie ou l’ARS. Il doit être rappelé que les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts. »
Afin de « décharger les laboratoires et d’améliorer les délais de transmission des résultats des tests » des nouveaux tests rapides « antigéniques » devraient arriver début octobre et disponible en vente en pharmacie.
Aujourd’hui, près de 130 vaccins contre le Covid-19 sont en cours d’élaboration ou en phase de test et d’essais cliniques dont 17 en phases d’évaluation clinique chez l’Homme.
Ici, le point sur les avancées scientifiques face à la recherche d’un vaccin contre le Covid-19.
Parmi les vaccins en tête, celui de l’américain Moderna et celui du britannique Astrazeneca. Le 8 septembre, ce dernier avait annoncé arrêter ses essais de phase 3 suite à la mauvaise réaction d’un patient, avant de pouvoir les reprendre samedi 12 septembre mais uniquement au Royaume-Uni, Brésil et en Afrique du Sud. Pas aux Etats-Unis.
Les essais Solidarity et Discovery ont abandonné le traitement lopinavir/ritonavir a été jugé inefficace. Ils ne plus qu’espoir sur un seul médicament : le Remdesivir.
La science tâtonne. En effet, depuis le début de l’épidémie du nouveau coronavirus, la liste des médicaments potentiels contre le Covid-19 continue de se réduire : après l’hydroxychloroquine, les essais cliniques européens Solidarity et Discovery ont également abandonné le traitement lopinavir/ritonavir, jugé inefficace et suspecté d’effets indésirables. Après cette décision, ces deux essais ne portent désormais plus que sur un seul médicament, le remdesivir, qui vient d’obtenir une mise sur le marché conditionnelle au sein de l’Union européenne.
L’association des deux médicaments antiviraux lopinavir et ritonavir (utilisée de base contre le virus du sida) avait été abandonnée fin juin par un autre essai clinique important : Le Britanique Recovery.
Selon L’OMS, « Les résultats préliminaires montrent que l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir ne réduisent que peu voire pas du tout la mortalité des patients hospitalisés pour le Covid-19 par rapport aux soins standard ».
En outre, l’essai Discovery a mis en lumière « la fréquence significativement plus élevée d’effets indésirables graves concernant la fonction rénale » a indiqué dans un communiqué l’Inserm (institut de recherche français qui organise cet essai).
Malgré le fait que des dizaines de traitements contre le Covid-19 soient évalués à travers le monde, aucun n’a pour l’heure montré d’efficacité remarquable, à l’exception d’un stéroïde, la dexaméthasone, chez les malades les plus touchés.
Après interprétation des résultats de l’essai Recovery, la dexaméthasone réduirait la mortalité chez les patients atteint d’une forme sévère du nouveau coronavirus (ceux étant en coma artificiel).
La société américaine de biotechnologie Moderna a annoncé mardi qu’elle entrerait dans la phase finale de ses essais cliniques sur l’homme pour son vaccin contre le coronavirus le 27 juillet, afin de tester sa capacité à protéger les personnes dans le monde réel. L’annonce est intervenue alors que les résultats des essais antérieurs visant à prouver que le vaccin était sûr et que la production d’anticorps déclenchés avaient été publiés. L’étude durera du 27 juillet 2020 au 27 octobre 2022.
Quatre mois après avoir été jugé « inutile » par les autorités, le port du masque devient obligatoire dans les lieux publics clos, il peut valoir une amende de 135 euros en cas d’infraction.
En plein cœur de l’été, le masque devient obligatoire, ce lundi, dans les lieux publics clos. Cette mesure répond aux signes d’un léger regain du virus : hausse des recours à SOS médecins, des passages aux urgences et du nombre de ‘clusters’ (cas groupés), même si la situation reste sous contrôle.
Découvrez la liste des lieux publics clos dans lesquels le port du masque est obligatoire à partir du lundi 20 juillet 2020
Lors de l’allocution d’Emmanuel Macron Dimanche 14 Juin 2020, le président de la république a autorisé les vacances à l’international dès le 1er Juillet 2020. La question reste à savoir où est-ce que nous pourrons partir en vacances ? Ainsi que les destinations prêtes à accueillir les voyageurs !
Dans certains cas, déconfinement peut rimer avec relâchement ainsi qu’à l’impression que le covid-19 est disparu et donc n’est plus une menace pour nous.
Cependant, le ministère de la Santé appel à la prudence de la population. En effet, lors de son audition mardi 16 juin 2020 menée par la commission d’enquête de l’assemblée nationale, le directeur général de la santé a été très clair : « L’épidémie est loin d’être terminée » ; « Nous devons impérativement continuer d’appliquer les gestes barrières » ainsi que l’ensemble des mesures sanitaires encore en vigueur.
De plus, il a ajouté qu’il fallait se préparer à une seconde vague épidémique du covid-19 car « ne pas se préparer à une deuxième vague serait une faute majeure ».
Ainsi, il a rappelé à la population de faire « extrêmement » attention aux nombreux déplacements que la population française va effectuer durant la saison estivale, saison qui approche à grand pas.
À la date du 23 juillet 2020 :
Bien plus que soutenu par le Pr. Raoul suite aux résultats de ses études, la chloroquine a été pendant le confinement en France le remède « miracle » contre le coronavirus.
Depuis les études du Pr. Raoult la chloroquine, délivré sous hydroxychloroquine a suscité de nombreux débats.
Depuis le 27 mai 2020 sur décision du ministre de la santé Olivier Véran, la prescription de l’hydroxychloroquine (dérivé de la chloroquine) est désormais interdite aux malades du Covid-19.
Le premier développé par l’institut de Biotechnologie de Beijing est composé d’un vecteur viral incapable de se répliquer in vivo. Les adénovirus sont des petits virus nus à ADN classiquement utilisés pour construire des vecteurs viraux. Dans ce cas, un adénovirus de type 5 est modifié génétiquement pour exprimer la protéine de surface du SARS-CoV-2. Selon l’OMS, c’est le candidat le plus avancé et il débute les essais cliniques de stade 2. Un vaccin contre Ebola, Ad5-EBOV, reposant sur le même principe a été déjà développé par eux.
Le deuxième vaccin est conçu par Inovio Pharmaceuticals, une société de biotechnologie américaine. Ces derniers ont opté pour un vaccin à ADN. Il ne contient aucune particule virale mais seulement des petits d’ADN circulaires qui codent pour la protéine de surface du coronavirus. La stratégie vaccinale nécessite une deuxième étape, une électroporation. Il s’agit d’induire une série de petites impulsions électriques pour faciliter l’entrée des ADN circulaires dans les cellules cibles.
Enfin, le dernier vaccin le plus avancé est celui conçu par Moderna aux États-Unis. Toujours en lice, il a été le premier vaccin à commencer les essais cliniques. Ce vaccin contient des ARN messagers créés en laboratoire pour reproduire la protéine de surface du coronavirus, une fois traduits et arrivés dans la cellule. Ces ARN messagers sont encapsulés dans des petites bulles lipidiques qui les protègent et leur permettent d’infecter les cellules par transfection.
Cependant, malgré les avancées prometteuses, il faudra encore attendre plusieurs mois pour voir un vaccin être administré à grande échelle.
Dès ce lundi 4 mai, des masques grand public sont disponibles dans les grandes surfaces. Mais, il n’y aura que peu de masques chirurgicaux en vente ce premier jour car les arrivages vont se faire tout au long de la semaine, afin que le maximum de Français puisse être équipé d’ici le 11 mai (date du déconfinement annoncé en France par Edouard Philippe).
Le prix des masques varie légèrement entre les différentes enseignes, ainsi que la façon dont se les procurer.
À Carrefour, par exemple, le prix à l’unité d’un masque chirurgical est de 0,58 euro alors que ceux en tissu sont vendus légèrement moins d’un euro. Pour trouver des lots de cinq ou dix, il faut se rendre directement en caisse, sans avoir à chercher dans les rayons.
Le système est le même dans les enseignes Système U, avec des lots de masques en tissu (de deux ou quatre) vendus en caisse à 2,72 euros. Le modèle chirurgical à l’unité coûte lui aussi 0,58 euro.
Dans les magasins Leclerc, son prix se situe entre 50 et 60 centimes d’euro. Le masque lavable est proposé entre deux et trois euros. Pour les acheter, il ne faudra pas demander en caisse ou aller dans les rayons, mais se rendre au guichet d’accueil.
D’autres enseignes vendent des masques, avec des boites de 50 unités vendues 29,50 euros à Casino ; 29,54 euros à Intermarché ; 29,90 euros à Franprix et Monoprix ou 30 euros à Lidl.
Bon à savoir : Dans la plupart des enseignes, l’achat de masques s’effectue directement en caisse ou à l’accueil. De plus, dans certaines régions, le nombre de boîtes est limitée à 1 pour celle de 50 masques chirurgicaux, et de 2 boîtes pour celle de 10 masques.
Non, il n’existe pas encore de vaccin pour soigner le Covid-19 mais des recherches sont en cours. Aujourd’hui, 40 vaccins sont en cours d’élaboration dont quelques-un en phase de test comme en Chine sur 108 sujets humains volontaires ainsi qu’aux États-Unis.
Malgré tous les moyens mis en œuvre en cette période de confinement et d’urgence absolue, les scientifiques affirment qu’”il faudra tout de même entre douze et vingt-quatre mois pour boucler ses essais cliniques chez l’Homme”.
Non, il n’existe pas encore de médicaments permettant de soigner le Covid-19. Cependant, l’un des médicaments les plus prometteurs aujourd’hui est la chloroquine (anti paludique).
C’est le professeur Didier Raoult qui a mené une expérimentation avec ce médicament sur 24 patients début mars. À l’issue de cet essai clinique, 75 % des patients soit 18 patients sur 24 n’étaient plus porteurs du Covid-19. Malheureusement, cette expérience n’est pas encore validée par des protocoles scientifiques rigoureux, ce qui risque de prendre un petit peu de temps…
Vendredi 13 mars 2020, Edouard Philippe était l’invité au 20h de TF1 et s’est prononcé sur l’utilisation de la chloroquine : « Nous n’allons pas autoriser la mise sur le marché de ce médicament » tout de suite”[…] »Le gouvernement a fait en sorte que les études cliniques et la recherche puissent s’engager très rapidement sur l’hypothèse formulée par le professeur Didier Raoult. » […] « Administrer des médicaments non testés, sans la preuve suffisante, pourrait susciter de faux espoirs et même faire plus de mal que de bien en entraînant des pénuries de médicaments essentiels pour traiter d’autres maladies. ».
Aujourd’hui, tous les regards se tournent vers l’hydroxychloroquine, une molécule qui exerce une activité anti-inflammatoire et antivirale. La substance, combinée à un antibiotique, a déjà été testée par l’infectiologue Didier Raoult, directeur de l’IHU de Marseille, sur 120 patients dans le cadre de deux essais cliniques (Les premiers tests ont été effectués courant du mois de mars). Par ailleurs, après des premiers résultats encourageants, l’hydroxychloroquine a été intégrée dans l’essai européen Discovery aux côtés de trois autres traitements expérimentaux contre le Covid-19.
ATTENTION : Il est essentiel de ne pas confondre la Chloroquine (plus connu sous le nom de Nivaquine) et l’Hydrochloroquine (Plaquénil). En effet, même si ces deux molécules ont le même mode d’action, la Chloroquine présente elle une marge thérapeutique plus étroite que l’Hydroxychloroquine, c’est-à-dire qu’une simple légère variation de sa concentration dans l’organisme peut entraîner des effets indésirables sévères et graves.
En l’absence de médicament, un traitement symptomatique est appliqué aux cas bénins. Il s’agit de limiter les effets du covid-19 comme les maux de tête, maux de gorge, courbatures etc… Pour ce faire, les patients peuvent prendre du paracétamol (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan) jusqu’à 3g/jour. De plus il est important d’appliquer et de respecter les gestes barrières face au coronavirus.
En revanche, si les symptômes s’aggravent, que la fièvre persiste et que vous présentez des difficultés respiratoires, appelez votre médecin traitant qui vous donnera les directives à suivre ou contactez le 15.
Une étude, financée par des organismes gouvernementaux américains et publiée en mars dans le New England Journal of Medicine (NEJM), « fait le point sur la survie du coronavirus sur différentes surfaces, à 21 °C et 40 % d’humidité (situation actuelle en intérieur) », rapporte le médecin français Dominique Dupagne dans sa page de synthèse sur la Covid-19.
En résumé :
En savoir plus sur la durée de vie du coronavirus sur une surface ici.